Evidence that organic farming promotes pest control

Evidence that organic farming promotes pest control

Présentation de l'étude réalisée en collaboration entre l’unité Santé et Agroécologie du Vignoble (Inra, Bordeaux Sciences Agro, ISVV) ; l’unité Biodiversité agroécologie et aménagement du paysage (Inra, ESA, Agrocampus Ouest) ; l’unité Ecosystèmes, Biodiversité, Evolution (Université de Rennes 1/OSUR, CNRS) ; l’Institut de Génétique Environnement et Protection des Plantes (InraAgrocampus Ouest, Université de Rennes 1)

Une méta-étude, résultat d'une analyse de grande envergure de la littérature scientifique

L’agriculture biologique (AB), sans pesticides de synthèse est considérée comme étant plutôt bénéfique pour la biodiversité. Ceci suggère que les niveaux de processus naturels supportés par la biodiversité, telle la régulation naturelle des bioagresseurs, sont plus importants dans ces systèmes qu’en agriculture dite conventionnelle (AC).

Les trois catégories de bioagresseurs distinguées dans cette méta-étude sont les ravageurs (animaux tels que certains insectes, nématodes, acariens ou autre), les agents pathogènes (champignons ou bactéries) et les plantes adventices ("mauvaises herbes").

Dans le cadre d’un consortium international, des chercheurs de l’Inra, de l’université de Rennes 1 ont exploré cette question, avec leurs collègues américains et allemands, à la faveur d’une analyse de grande envergure de la littérature scientifique, démontrant l’impact des pratiques de l’AB sur la stimulation de la régulation naturelle et le contrôle des bioagresseurs.

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Date de modification : 14 août 2023 | Date de création : 28 août 2018 | Rédaction : JLB